Tour du propriétaire
Pas dans l’apparence en tout cas. Au déballage rien ne sort de l’ordinaire sinon une couleur plaisante gris ardoise (il existe aussi un coloris Orchidée).
L’alimentation aussi est tout à fait classique avec deux parties d’une longueur de 2,80m qui se connecte en USB-C.
Les marques Lenovo et Yoga sont gravées côté capot de façon plutôt discrète.
Sous la machine on aperçoit un grand patin en caoutchouc à l’extrémité arrière et deux plus petits à l’avant.
Ils se chargent de surélever l’appareil pour que la grande grille d’aération puisse faire circuler l’air afin de refroidir le processeur.
Sur la tranche gauche deux ports USB-C servent à connecter l’alimentation et un autre périphérique.
Les deux sont compatibles Power Delivery, le second Display Port.
La prise HDMI servira à connecter un écran externe tout en laissant les ports USB-C disponibles.
De l’autre côté c’est tout aussi confortable.
A côté du bouton d’alimentation on trouve encore deux ports USB au format A version USB 3.1 Gen 2 ainsi qu’un lecteur de carte MicroSD.
Malgré toute cette connectique l’ordinateur reste assez fin, 1,49 cm et garde un poids raisonnable de 1,4 kg lui permettant d’être qualifié d’ultraportable.
A l’ouverture on découvre un clavier très bien agencé.
Les touches sont bien espacées pour une frappe agréable malgré la présence des sorties haut parleur de part et d’autre.
En revanche le trackpad est plus petit que ceux vus chez la plupart des concurrents et aurait gagné à être, sinon plus haut, un peu plus large.
Même s’il s’agit d’un PC portable au format traditionnel, on tente quand même de pousser la charnière jusqu’à ses limites.
Notre Yoga est un des rares à permettre une ouverture à 180 degrés.
Cela ne sera pas souvent d’une grande utilité toutefois, puisque l’écran n’est pas tactile.
L’absence de tactile n’est pas un problème dans le cas d’un PC non convertible.
L’écran 14 pouces est au format 16:9, c’est justement ce qui a permis d’intégrer un clavier bien confortable, et obligé Lenovo à rogner sur le trackpad. Ce format d’écran devrait plaire en priorité à ceux qui visionnent des vidéos ou qui utilisent des logiciels qui ont besoin d’espace en largeur, contrairement à d’autres modèles qui privilégient le format 3:2 pour le travail sur les pages en hauteur.
Côté technique on est là en présence d’une dalle IPS avec une définition de 1920 x 1 080 pixels et une luminosité de 300 nits. Celle-ci permet tout juste de compenser les reflets créés par l’écran brillant dans un environnement lumineux comme en extérieur par beau temps, un choix discutable alors que l’écran n’est pas tactile. Le châssis de l’écran est fin à l’exception d’une protubérance pour intégrer la caméra.
Celle-ci est toutefois très utile. Lenovo n’a en effet pas fait l’impasse sur un système d’authentification moderne. Le Yoga Slim 7 n’utilise pas un lecteur d’empreinte mais la reconnaissance faciale. Associée à Windows Hello, le système de sécurité de Windows 10, la webcam IR fait très bien son boulot et déverrouille en un clin d’oeil l’ordinateur aussi bien au démarrage qu’à la sortie de veille.
Logiciels : de l’utile et de l’envahissant
Jusqu’ici tout se passait plutôt bien, mais après la mise en route du système on découvre la présence de logiciels additionnels. Si celle d’Alexa peut paraitre anecdotique, puisque le logiciel ne se lance jamais de lui même, c’est bien différent pour l’antivirus MacAfee qui nous accueille d’une popup de publicité. Le logiciel Lenovo Vantage a quant à lui une réelle utilité puisqu’il va permettre de surveiller le système et réaliser des mises à jour de pilotes récupérées directement chez le fabricant.
Lenovo n’est pas le seul fabricant à intégrer un antivirus commercial malgré l’existence de Windows Defender, gratuit, intégré par défaut par Microsoft, et qui est suffisamment efficace. Ce qui gêne n’est pas vraiment ce choix s’il restait discret, mais durant notre test l’antivirus nous présentera pas moins de 4 fenêtres popup différentes pour nous pousser à passer à la caisse. Et ce sont parfois des messages à la limite de la bonne foi, laissant entendre que l’on prend un risque en n’acceptant pas d’étendre la protection. C’est bien entendu faux puisque Windows Defender prend automatiquement le relais en cas de défaut de l’antivirus par défaut, mais cela pourrait induire en erreur les moins avertis.
Performances au rendez-vous, autonomie bluffante
D’un coup, ce Yoga Slim nous semble bien moins sympathique, il faut espérer que le reste sera à la hauteur. La configuration est plutôt intéressante avec un processeur AMD Ryzen 5 4500U soutenu par la solution graphique d’AMD, 8Go de RAM et un SSD de 256 Go. Rien d’extravagant toutefois, ni dans le reste des spécifications puisque le PC ne propose pas le Wifi 6 dans cette déclinaison (mais la version équipée d’un Ryzen 7, si).
Il tient bien son rang au niveau benchmark, Novabench lui octroie un score proche des 1900 points, pas loin d’un XPS 13 équipé d’un Core i5, et un peu en dessous du Laptop 3 de Microsoft en Core i7. Côté Geekbench le test single-core affiche 1066 points et 4922 en multi-core. Le GPU quant à lui atteint 10787 points. Cela permet d’envisager une utilisation très confortable des applications gourmandes et de pouvoir jouer à des jeux peu exigeants en ressources graphiques.
Marque du processeur AMD
Modèle du processeur AMD Ryzen 5
Processeur AMD Ryzen 5-4500U
Caractéristiques de l’écran Luminosité : 300 nits
Capacité de stockage 256 Go
Taille de l’écran (pouces) 14 ”
RAM installée 8 Go
Marque de la carte graphique AMD
Modèle de la carte graphique AMD Radeon
Carte graphique AMD Radeon
Stockage total 8 Go RAM 256 Go SSD
Capacité Du disque SSD 256 Go
Choix durable Non
Type de disque dur SSD
Résolution maximale de la carte graphique 1920 x 1080
Ecran tactile Non
Type de mémoire vive installée DDR4
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